DANSE DU FEU SUR LE TRAPEZE

Une sélection des derniers échos médias :

Siné Mensuel (Catherine Weil Sinet, 7 06 2023)
A Siné Mensuel, on aime ce récit multifacettes où l’intime se mêle à la description politico-sociale et où l’éclat de l’amour s’accouple avec les ténèbres. Prenez garde, lecteurs sensibles, ce livre est une mise en abîme.

L'Alsace (Laurent Gentilhomme, 28 05 2023)
Du « Hanot » tout craché, à la confluence d’une génération post-soixante-huitarde qui a tout foiré : dans la société française, pas grand-chose à garder. Si, ses romans.

Les Dernières Nouvelles d'Alsace (François Montpesat, 16 06 2023)
Sous un beau titre poétique, Pierre Hanot publie un roman bien noir et pas mal en colère-sociale ou politique. Comme toujours chez lui, le style est enlevé, à la fois « popu » et chiadé. Il épingle joyeusement le monde de l’édition, comme de la prison, les fachos comme les fâcheux, au gré des tribulations de son héros un peu paumé, un peu désabusé, plein d’humanité.

La Semaine (Gaston-Paul Effa, 17 05 2023)
Il est des livres qui vous embarquent sans ménagement, ce roman est de ceux-là. Les dialogues sont époustouflants, la prose haletante et sans gras.

Ouest France (Jean-Noël Levavasseur, 4 06 23)
Roman coup-de-poing, il y a aussi de la tendresse, de l’humanité, de l’engagement. Ce qui fait le sel des romans de Pierre Hanot.

Républicain Lorrain (Emilie Perrot, 6 05 2023)
Une plume qui tend vers l’essentiel. Des phrases en forme d’uppercut. Un regard acéré sur le monde d’aujourd’hui. Un ouvrage résolument contemporain où se mêlent l’avènement de l’extrême droite, le clair-obscur des cœurs et la perdition d’un personnage principal largué dans sa propre vie. Documenté sans être totalement factuel, ce roman fait mouche. Pile où cela fait du bien.

K-Libre (Laurent Greusard, 25 04 2023)
Roman plus que vivant, rythmé par son alternance entre scènes d'action et réflexions plus profondes sur la politique et le besoin de s'engager autant dans sa vie personnelle que publique. Un roman noir, fort comme un café noir, très noir.

Court Circuit (Sylvain Villaume, Juin 2023)
Une extrême droite aux portes du pouvoir, une bande à Baader d’amateurs, beaucoup d’amour et d’amours. Et puis, parce qu’il faut rire de tout, pas mal d’humour, de dérision, d’autodérision plutôt. Un roman noir aux reflets de rose et de brun, à lire sans plus attendre.

Moselle TV (Alicia Hiblot, 14 06 2023)
On est embarqué dès les premières pages par la musicalité des mots très présente. Un roman humain et engagé, beaucoup d’humour et d’amours qui vous tiennent en haleine de bout en bout.

AU BOUT, LA NUIT

Faisant partie des 14 romans français sélectionnés pour le Grand Prix de littérature policière 2022 et sélectionné pour le Prix Sang pour Sang Polar du Salon de Franqueville-Saint-Pierre, ce roman noir a les honneurs de la presse :

Libération (Alexandra Schwartzbrod, 2 07 2022)
Porté par une écriture sobre et fluide, des chapitres courts et rythmés, ce roman noir se lit avec un mélange de répulsion et de fascination.

Siné Mensuel (Catherine Sinet, 4 05 2022)
Pierre Hanot se livre ici à un exercice délicat : faire parler un Français collabo, nazi même, qui ne regrette rien, un jeune facho biberonné aux récits d'un père antisémite et alcoolique. À Siné Mensuel, on aime ce roman !

Sud Ouest (Lionel Germain, 12 06 2022)
Roman indispensable, à l'heure où l'histoire immédiate s'efforce de gommer certains souvenirs indésirables.

L'Alsace (Laurent Gentilhomme, 15 05 2022)
Pierre Hanot n'aime pas les héros ni les contes pour enfants extraits du roman officiel de la glorieuse République Française. Un récit tendu, nerveux, sec comme un coup de trique, jusqu'à s'étourdir de la vérité vraie.

Vie Nouvelle (Roger Martin, juillet 2022)
Pierre Hanot sait bien que le ventre est toujours fécond d'où a surgi la Bête immonde. Sa plume est féroce. Pas de fausse littérature mais un travail au scalpel. Passionnant et salutaire.

Le Courrier Picard (Philippe Lacoche, 5 août 2022)
Du talent à revendre ! Equipé d'un style direct, sans graisse, imagé, Pierre Hanot tient son récit d'une main de maître.

Les Dernières Nouvelles d'Alsace (François Montpesat, 27 05 2022)
La documentation de faits réels confère sa justesse à l'ouvrage. Pierre Hanot referme ainsi cette plongée édifiante dans le côté obscur de l'Histoire.

La Semaine (Hebdo lorrain, Jean-Pierre Jager, 28 04 2022)
Les mots sont utilisés dans leur force et leur dépouillement afin de leur permettre de mieux remplir une double mission : celle de ne pas trahir le message qu'ils portent mais aussi de laisser l'espace pour les interpréter.

LUMIÈRE NOIRE

Là aussi, beaux retours des médias :

Le Courrier Picard (Philippe Lacoche, 5 août 2022)
De très haute tenue, le CD Lumière noire propose dix chansons taillées dans un boogie-rock funky qui fait parfois penser à JJ Cale ou à Canned Heat. Plein d'énergie et de swing .


Le Mag (Frédéric Vignale, 30 06 2022)
Une belle énergie à chaque morceau, des petites histoires de vie, des jeux de mots, de l'humour, de la décontraction, des provocations, des punchline de malade, un grand sens de la dérision, de l'autodérision et des titres qui font mouche quand ils tournent sur la platine.

Blues & Co (Tonton Eric, 30 08 2022)
Pierre Hanot démontre avec brio que le blues ne connaît aucune restriction quand il est manié avec dextérité, talent et authenticité, quelle que soit la langue.

Zicazic (Fred Delforge, 18 08 2022)
L'ouvrage se pare d'un son sans aucune anicroche et finit de se frayer une place de choix dans la cédéthèque de tout amateur de blues francophone qui se respecte.